Description
Une terre isolée du reste du monde éloigné de la cote la plus proche par des centaines de kilomètres d’eau en furie une terre ou l’habitant principale est une végétation florissante une magnificence sali par la présence d’une horreur que seule l’homme peut mettre en place sur cette terre existe un circuit fermé un circuit bétonné circuit sur lequel on discerne a fréquence régulière comme une ombre les sentinelles humaines placé tout du long du bitume ne peuvent qu’apercevoir cette ombre flouté sans consistance d’apparence il ne veut pas voir ce qui se cache derrière cette ombre seule le doyen de l’ile a connaissance du pourquoi il est la lui et son assistant chargé du commandement des sentinelles des hommes qui occupent l’ile depuis une vingtaine d’années les sentinelles changent régulièrement le doyen est présent depuis le commencement il fit appel à un assistant peu après l’ile fut découverte il y a vingt ans une ile de déchets ordures humaines qui fut enseveli sous le sable et la terre une ile ou la végétation aussi resplendissante sois telle est unique on ne la trouve que sur cette parcelle de terre ceci étant elle se fit toute seule sans aide humaine ce qui veut dire qu’elle est extrêmement résistante comme les déchets qui la compose c’est pourquoi l’Etat du monde s’est empresser de bétonné ses contours formant ainsi un circuit entretenue par le passage régulier des prisonniers sur les rives de cette ile est accoster une infrastructure monumentale une recyclerie une initiative des écologistes du monde étant absolument effaré que l’homme puisse produire autant de déchets en un demi-siècle la recyclerie n’a pas était mise place pour recyclé les déchets de l’ile sinon elle s’effondrerai et la petite entreprise pensée par l’Etat ne serait plus non les écologiste ce sont entendu avec l’Etat du monde pour préserver l’ile dans son isolement et en faire un paradis du déchets recycler avec sa végétation luminescente le tableau offre une très belle publicité a donné au monde l’Etat en profite les humains aussi le bâtiment recycle donc les déchets du monde qui dérives naturellement vers l’ile si entre temps des poissons s’en nourrissent ce n’est que bénéfices des poissons plus beau et moins de déchets a recyclé les sentinelles sont constamment à l’affut du moindre faux pas une ombre dont les contours se précises un peu trop c’est le droit à l’abue physique c’est la porte ouverte à l’affirmation de sa puissance personnel a l’assouvissement de son autorité suprême non que les Eveillé ne sont pas puissants ils ont été endormie dans un moment de faiblesse il y a plus de vingt ans un groupe de Semi-Eveillé ont atteint la puissance suffisante pour atteindre l’Eveille un groupe constituer d’une faille un espoir naïf d’effacer la mémoire du passé un groupe fatigué par les cauchemars qui c’est laisser prendre par la lueur pale qui resplendisse dans l’obscurité de leurs regards aveugler par cette lueur ils marchèrent droit vers elle les bras ouvert le cœur dans la main en espoir de pouvoir cohabiter avec les hommes se rendre visible aux yeux de tous fatigué de se cacher ils se dévoilèrent aussi crédule que de jeunes enfants face à la lumière caractéristique du dernier espoir d’un suicider celle-là même qui te fait hésiter devant ta conviction travailler avec acharnement pendant surement un long moment trop long moment trop long pour ce groupe a force de chercher on trouve ils ne cherchaient pas la mort ils cherchaient un espoir de survivre dans l’Eveille la vie comme rédemption le pardon donner gratuitement au bourreau la facilité se paye cher la facilité se paye avec son corps ils payent depuis une vingtaine avant retenue captif dans le monde peuplé ils furent affamé pendant plusieurs années force vitale réduite au minimum à les rendre inoffensif drogués régulièrement pour les endormir tâche difficile car leurs colère lors de l’attaque raviva un sentiment d’impuissance insupportable aux Eveillé le vrombissement sortant de leurs cages thoraciques se fit si intense qu’il déstabilisa pendant un moment les gardes chargés de les capturés mais les nouveaux Eveillé ne bougèrent pas des larmes coulaient traçant des sillon sur le joues duveteuse une rage paralysante leurs yeux devinrent blanc ils virent noir des ombres partout un monde de danger tout à détruire une vision une colère qui fit écho dans tous les corps des Eveillés un souffle de glace emplissait l’air ambiant d’un désespoir profond une déception d’avoir cherché l’espoir et de n’avoir trouver que souffrance perçu comme une punition des plus forts sur les naïfs ce souffle déploya aux yeux de tous ceux qui regardent un monde ou la naïveté n’a plus lieu d’être un monde ou tendre la main pour aider autant que se faire aider est synonyme de crédulité suicidaire c’est tendre la main pour se faire tailler les veines et c’est puni sévèrement dans les deux camps tellement que si les Eveillé réussissent à s’enfuir de l’ile ils ne savent pas comment survivre face aux regard de leurs peuple ayant animés une flamme de désespoir éternel peuple surement déçue de compter parmi des êtres impuissant qui se laissent emporter par leur trop pleins d’espoir et de rage des êtres qui se laissent faire ils espèrent encore une fois le pardon des leurs semblables ils prouveront de quoi ils sont capable ils sortiront de cette ile de l’enfer tueront toute ces voyeurs qui n’attendent qu’une chose qu’ils tombent de fatigues qu’ils ne se relèvent plus en attendant le bon moment ils pédalent frénétiquement toujours le même mouvement de jambes a cadences réguliers leurs muscles connaissent par cœur le circuit ses montées et ses descentes un sillon s’est former sous leurs roues car cela fait des années qu’ils sont là il ne s’en soucient pas ils ont encore des décennies devant eux pour assouvir leurs colère comme leur bourreau l’ont fait dans le creux du bitume des capteurs sont placés de sortes à récupérer l’énergie cinétique produite par les roues du vélo énergie transmise dans un générateur au bord de la rive accosté a ses coter la recyclerie les Eveilles fournisse l’électricité nécessaire au confort des hommes confort requis pour faire face à l’inconfort qu’ils créent eux même ils s’enterrent avec leurs propres mains et ils ont trouvé un peuple pour tasser la terre au-dessus de leurs têtes bitumer rendre ca propre une Eveillé parmi les un endure plus que ses frères une différences de sexes que les humains trouvent important de souligner mais qui ne se remarque pas chez le peuple des géants une identification dans laquelle ils trouvent leurs intérêt car cela permet une énième démonstration de puissance sur les soumis l’Eveillé étant placer sur ce territoire du côté du sexe féminin elle en subit les conséquences les sentinelles se rendirent compte d’une présence musculaire plus importante au niveau de la partie supérieur du thorax et ses épaules placés a peu près aux même niveaux que ses hanches caractéristiques se rapprochant des aspects physiques du sexe féminin humain ils en profitèrent l’Eveillé ralenti une demi-seconde ils sautèrent sur l’occasion c’était pour eux comme si elle tendait la joue pour qu’on embrasse ses lèvres comme si elle tendait le poignée pour qu’on lui taille les veines l’Eveillé nu le temps de rien a l’instant où elle sentit le contact physique d’un autre que son peuple elle se sentie souillé elle vit noir plongée dans l’ombre de ses yeux elle se débâtit tant qu’elle pouvait les geste ralentit par la faim en plus d’être des geste qu’elle n’avait plus l’habitude de faire passant nuit et jour debout sur son deux-roues les bras tendus les mains agripper aux poignées du guidon l’Eveillé fut amener de force chez le doyen il n’était pas présent l’assistant se tenait à la porte il vit arriver la sentinelle l’ordonna de repartir de suite à son poste il laissa la géante au pieds de cette homme il lui fallut pas longtemps pour trouver tout ce qu’il allait bien pouvoir lui affliger elle vit un enfer depuis ce jour elle se fatigue plus que les autres elle ne peut plus fermer les yeux depuis les ombres qu’elles voient au coin de ses yeux se font de plus en plus oppressant elle tends les muscles de ses bras deux fois plus la poigne ferme elle s’imagine les frappants violemment toujours plus violemment jusqu’à ce qu’elle tombe de fatigue et que le cauchemar recommence elle ne sait pas comment en sortir elle abandonne toute espoir elle attend le jour où elle pourra elle détruira